lundi 8 août 2016

Un groupe d'ommes prétendant être des membres du personnel vacataire du CEP ont cherché vendredi à se faire héberger à l'ambassade du Venezuéla au prétexte qu'ils feraient l'objet de menaces




Port-au-Prince, le 8 aout 2016 – (AHP)- Un groupe d'hommes âgés entre 20 et 35 ans, se présentant comme des membres du personnel vacataire du conseil électoral provisoire, se trouvaient vendredi à l’ambassade du Venezuela où ils ont dit vouloir chercher refuge, arguant qu’ils sont l’objet de menaces.

Ces citoyens qui ont affirmé être des superviseurs électoraux ayant officié lors des élections de 2015 et qui se disent  disponibles pour le scrutin prévu le 9 octobre prochain, ont prétendu avoir été l’objet de menaces de la part d’autres employés du CEP pour qu'ils prennent  des décisions en faveur des partis de l'opposition de l'époque.

Des déclarations jugées peu crédibles et farfelues.

Beaucoup croient en effet qu'il pourrait s'agir de gens à la recherche de provilèges ou de bousrses d'études à  l'étranger.

Parmi eux, seulement 1 ou2 semblaien disposer d'une carte de superviseurs.

En tout cas, a fallu enre autres  l’intervention des ministres des affaires étrangères et de la justice, Pierrot Délienne et Camille Edouard Junior, accompagnés d’un juge de paix et de deux responsables d’organisations de droits humains, en l’occurrence Pierre Espérance du RNDDH et Anthonal Mortimé de Défenseur Plus, pour qu’ils acceptent de quitter l’ambassade.

Ces individus  ont été emmenés  "en un lieu sûr" et devraient être reçus un à un ce lundi au ministère des affaires étrangère.

Le responsable local de New-England Human Right Organisation, Anthonal Mortimé qui intervenait sur la question a indiqué qu’il était essentiel que ce dossier ne soit pas traité avec légèreté car il s’agit, a-t-il dit,  de citoyens haïtiens qui affirment se sentir menacés au point de demander refuge dans une mission diplomatique.

Mais, officieusement, plusieurs personalités ont affirmé ne pas faire foi aux déclarations jugées copntradictoires et peu crediles  de ces hommes qui interviennent  plus de 8 mois après l'annulation des élections.

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