Port-au-Prince, le 12 janvier 2016 – (AHP) –Une des conseillères électorales accusée de corruption et pressée par l'organisation Fanm Yo La qui l’avait désignée au CEP, de quiter l'institution électorale, informe avoir déjà rédigé une réponse l’organisation féminine , mais elle s’est gardée d’en révéler le contenu.
Pour tenter de contourner les appels à son depart, elle inform,e avoir intenté une action en justice contre les personnes qui l’accusent de corruption.
Mais les accusations ne viennent pas uniquement du dehors. Vendredi, le conseiller Jaccéus Joseph, représentant du secteur des droits humains, a menacé de ne pas participer aux séances du Bureau du contentieux électoral natonal (BCEN) pour les municipales ni collaborer à l’organisation des élections du 24 janvier si le CEP n’applique pas les recommandations de la commission d’évaluation formée par l'Exeecutif.
Selon lui, si les élections du 24 janvier devraient être organisées ainsi, elles seraient pires que celles du 9 aout et du 25 octobre 2015
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