21/06/2016/AHP:- Tous les regards sont convergés ce mardi sur le parlement où sénateurs et députés devraient se pencher sur la prolongation ou non du mandat consideré comme non lié à la constitution du preéident Jocelerme Privert dont la mission essentielle est l'organisation d'élections pour favoriser un retour à la constitution en permettant entre autres à un nouveau président democratiquement élu d'entrer en fonction à la date constutionnelle du 7 février 2017.
Les adversaires du chef de l'Etat composés entre autres de parlementaires dont plus d'une quarantaine sont considérés comme des mal élus et des responsabes politiques dont la plupart sont accusés d'avoir baigné dans la corruption et d'implication dans l'organisation d'elections frauduleuses, au profit d'un seul secteur.
Leur objectif est d'utiliser tous les moyens possibles et imaginables pour tenter de mettre le président hors jeu. Il est rapporté qu'au cours des réunions tenues ces dernièrs jours, certains d'entre eux on affirmé leur intention d'aller jusqu'au bout dans l'execution de leur plan, estimant que c'est la seule façon pour eux, de revenir au pouvoir comme ce fut le cas en 2011 au détriment de la candidate Mirlande Manigat, la véritable élue de la présidentielle d'alors, et lors de la tentative avortée de 2015 en faveur de Jovenel Moise.
Ils estiment aussi que c'est la seule façon pour eux de se soustraire à la justice, suite aux graves dérives et accusations qui pèsent sur eux dans le cadre de leur gestion de la chose publique.
De l'autre côté, il y a ceux qui se présentent comme les partisans de la stabilité, prêts à contrecarrer toute tentative de retour au statu-quo ante et qui disent vouloir l'organisation d'élections où tous les candidats auront un minimum de garantie que le pouvoir ne tentera pas de détourner le vote populaire et de favoriser un poulain.
Dans ce camp, on retrouve des personnalités issues des secteurs vitaux du pays, des citoyennes et citoyens reputés être parmi les plus credibles et dont on ne devrait pas pouvoir dire que leur prise de position est monnayée: elles sont issues de secteurs comme l'Eglise, l'Education, les Affaires, , la société civile, les droits humains et la presse.
Tous, ils votent en faveur de la stabilité et d'élections libres honnêtes et démocratiques pour permetre au pays d'aller de l'avant. C'est pourquoi, ils brandissent la nécessité et l'obligation que le president Privert accomplissent sa mission qui est la passation, en février 2017, de l'écharpe présidentielle à un président légitime, constitutionel non passible de contestations.
Malgré, dit-on, les manoeuvres des lobbyistes grassement payés à Washington avec des fonds qui ont été tirés du trésor public , aujourd'hui, en Haïti et dans la communauté internationale, tout le monde sait que les électons de 2015 ont eté empoisonnées par des fraudes massives.
En privé, des acteurs de cette communauté admettent qu'il n'y a pas eu d'elections, mais une vaste opération de manipulation orchestrée par une firme espagnole du nom de Sola. Mais, ils refusent de l'admettre officiellement et d'en parler en public.
Et s'il y a des secteurs étrangers qui tentent de défendre une position contraire, c'est par honte et par frustration, après avoir échoué à imposer des resultats pour des élections qui n'ont jamais eu lieu.
Jounen jodi a, nan kafou difisil sa a, pati politik yo: Fanmi lavalas, Pitit Desalin, Lapeh, MOPOD, platfom jistis, MAS, Konviksyon, RDNP, Renmen Ayiti, OPL, PHTK ak tout oganizasyon sosyete sivil ak sekte prive a, dwe di aklè sou ki bit yo kanpe, ki peyi yo vle: yon peyi ki pou kontinye benyen nan eleksyon fo mamit, ki pou kontinye layite kò l nan koripsyon, nan vye trafik tout kalite libè libè, ou byen yon peyi ki pou mache sou chemen demokrasi ak devlopman opwofi tout Ayisyen.
Il est aujourd'hui impérieux de prendre position en faveur de la stabilité sociale, politique et économique en Haïti, impérieux que les acteurs politiques, économiques et socio-professionnels se mettent d'accord autour d'une formule qui puisse garantir la poursuite du processus électoral avec les autorités déja établies. D'autant que ces autorités ne montrent jusqu'ici aucun signe qui pourrait faire douter de leur volonté de garantir l'autonomie des diverses entités impliquées dans l'organisation des prochaines élections.
Le CEP non plus n'a fait jusqu'ici montre d'aucune velléité de détourner le processus électoral.
Le pays ne peut et ne doit donc pas se plier aux caprices et chimères de ceux qui voudraient d'un organisme électoral à leur solde pour réediter la catastrophe des életctions truquées de 2015, au risque de nouveaux troubles et de nouveaux reports de la présidentielle et des autres elections déjà programmés.
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