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Port-au-Prince, le 22 juin 2016 – (AHP) – Plus de 24 heures après la séance avortée qui devrait permettre aux parlementaires de décider de la prorogation ou non du mandat, aucune date n’a encore été retenue pour l’organisation de la séance.
Toutefois, le chef de l'Etat continue d'assumer ses responsabilités, notamment en collaborant avec le CEP qui a la responsabilité d'organiser la prochaine présidentielle et les législaties partielles
Le député du GPI, Louis-Marie Bonhomme a réaffirmé la volonté de son bloc de voter en faveur de la stabilité et donc pour le maintien du président Jocelerme Privert à son poste.
L’élu d’Anse-à-Folleur soutient que certains de ses collègues du GPED et de l’APH seraient du même avis, ce qui, dit-il, donne au chef de l’Etat une majorité prête à prolonger son mandat.
Pour sa part, le député Eusaüe Prophète de l’APH soutient la nécessité que les parlementaires s’entendent d’abord avant de reprogrammer la séance en assemblée nationale sinon, dit-il, elle risque de se terminer en queue de poisson.
Les intérêts et les positions sont divergents au parlement, il faut d’abord trouver un terrain d’entente avant de fixer la date de la séance, soutient l’élu de Quartier-Morin qui déplore le spectacle offert mardi au palais législatif.
Les parlementaires pro-Martelly ont fait échouer la séance en indiquant qu'ils n'étaient pas en seurité, après que des individus non identifiés eurent lancé des peirres cdontre le palais législatifs.
Des parlementaires du PHTK et alliés munis d'armes de guerre dans l'enceinte du parlement ont aussitôt accusé des pro-Privert, mais d'autres sénateurs ont retorqué qu'il s'agisait plutôt d'un plan monté pour empêcher la tenue de la séance
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