mardi 15 décembre 2015

Le directeur départemental de l’ouest de la PNH nie les accusations selon lesquelles, des membres de la brigade d’opération et d’intervention départementale BOID seraient des repris de justice



                                                                                      
Port-au-Prince, le 15 décembre 2015 – (AHP) - Le directeur départemental de l’ouest de la PNH Vladimir Paraison a nié ce mardi, les accusations selon lesquelles, des membres de la brigade d’opération et d’intervention départementale BOID seraient des repris de justice.

Cette unité, nouvellement formée, fait l’objet de vives critiques et de nombreuses plaintes pour brutalité, vols et abus d’autorité entre autres, au point de porter l’inspection générale de la PNH, à recevoir par petit groupe les agents de la BOID, pour entre autres les entretenir sur des notions relatives aux droits humains et à l’éthique.

Vladimir Paraison a fait que les membres de la BOID sont issus de différentes promotions de la PNH et leurs dossiers ont fait l’objet d’analyse notamment de la pat der la section des droits humains de la MINUSTAH et des organisations haïtiennes de droits humains, avant leur recrutement.

Le DDO qui intervenait lors d’une journée porte-ouverte organisée dans les locaux abritant cette unité à Fort-National en vue d’informer  du fonctionnement de la brigade,  invite les citoyens à lui faire confiance car elle travaille au maintien d’un climat sécuritaire dans le pays.

Plusieurs secteurs ont accusé les autorites d'avoir recruté de nombreux  membres  de cete entité dans les rangs de repris de justice et autres malfrats pour qu'ils soient toujours réccepifs a n'inporte quel ordre illégal.

Le membres de la BOID s'étaient signalés particulierement lors des violences de l'arcahaie consecutives a la decision qu'avait prise par decret le president Michel Martelly d'amputer la ville de l'arcahaie d'une partie de son territoire.

Des policiers  de cette brigade avaient éte accusés de graves violences ayant causé des morts. Ils seraient  allés jusqu'à agresser des marchandes de nourriture pour avoir des plats sans payer.

Une source proche du gouvernement a rapporté que face  à l'ampleur de la honte, des marchandes avaient été dédommagées. 

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