Port-de-Paix, le 3 aout 2017 - (AHP) - Un jeune étudiant, Beethoven Julien, a été tué par balle, tôt ce jeudi matin alors qu'il se trouvait dans un autobus assurant le trajet Port-de-paix/Port-au-Prince.
C'est le maire principal de cette ville du nord-ouest d'Haiti, Jousué Alouisma, qui l'aurait abattu. Selon le propriétaire de l'autobus, Hermane Lubin, M. Alouisma a volontairement fait feu en direction du bus parce qu'il lui aurait obstrué le passage.
Le drame s'est produit vers 4 heures 30 du matin, dans la localité Ti Boukan à Bassin-Bleu.
"Nous étions sur la route et le véhicule qui se trouvait derrière nous, celle du maire Alouisma, a fait feu en notre direction parce que nous ne pouvions pas le laisser nous dépasser, en raison de l'exiguité de la route, a indiqué Hermane Lubin.
L'étudiant en 2e année, à l'Université Valparaiso, atteint de deux projectiles, est mort alors qu'il était transporté a l'hôpital, a-t-il dit, récament justice pour la victime et des réparations pour son autobus.
Le maire Alouisma a rejeté ces accusation. Il affirme avoir été victime d'un guet-apens et parle d'un attentat à sa vie.
C'est de l'autobus qui suivait mon véhicule que les coups de feu sont partis, a tenté de faire croire l'idylle de Port-de-Paix qui a dit déplorer la mort du jeune étudiant, tout en promettant d'accompagner ses proches.
Le maire invite les autorités judiciaires à diligenter une enquête, en vue de faire la lumière sur cet incident et critique la décision des autorités policières de laisser l'autobus poursuivre sa route.
Le maire Alouisma n'a pas été autorisé à rentrer chez lui, après son audition au parquet Port-de-Paix. Il a été maintenu en garde-à-vue, de même que son agent de sécurité. Selon le commissaire du gouvernement, Claude Frantz Antoine, les témoignages des deux hommes n'étaient pas concordants.
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Port-au-Prince, le 3 aout 2017 - (AHP) - Le député de Port-Salut (Sud) et président de la commission santé de la chambre basse, le Dr Sinal Bertrand juge opportun que les autorités sanitaires haïtiennes cherchent à savoir si d'autres cas de personnes atteintes de la lèpre, existent en Haiti.
Les déclarations du parlementaire arrivent quelques jours après que les autorités chiliennes eurent confirmé qu'un migrant récemment arrivé d'Haiti, residant dans la ville de Valdivia, a été testé positif de la maladie.
Il faut, a-t-il dit, qu'on s'intéresse aux proches de ce patient et à son entourage afin de vérifier si la maladie existe dans le pays, rappelant que cela faisait longtemps qu'on n'avait pas recensé de cas en Haiti.
C'est peut-être la même chose pour le choléra, nous n'avions pas enregistré de cas jusqu'a ce qu'en 2010, des casques bleus de la Mission des nations Unies pour la Stabilisation d'Haiti ne contamine une source dans le plateau central, provoquant une épidémie, a-t-il rappelé.
C'est le 31 juillet dernier que les autorités chiliennes avaient confirmé le premier cas de lèpre enregistré dans le pays et il s'agirait d'un ressortissant haïtien de 28 ans qui se trouve actuellement sous traitement.
Une fois qu'il a été annoncé que le patient était un ressortissant haïtien, le media chilien, Publi Metro, a relayé une vague d'insultes racistes débitées contre les Haïtiens sur les réseaux sociaux.
C'est le maire principal de cette ville du nord-ouest d'Haiti, Jousué Alouisma, qui l'aurait abattu. Selon le propriétaire de l'autobus, Hermane Lubin, M. Alouisma a volontairement fait feu en direction du bus parce qu'il lui aurait obstrué le passage.
Le drame s'est produit vers 4 heures 30 du matin, dans la localité Ti Boukan à Bassin-Bleu.
"Nous étions sur la route et le véhicule qui se trouvait derrière nous, celle du maire Alouisma, a fait feu en notre direction parce que nous ne pouvions pas le laisser nous dépasser, en raison de l'exiguité de la route, a indiqué Hermane Lubin.
L'étudiant en 2e année, à l'Université Valparaiso, atteint de deux projectiles, est mort alors qu'il était transporté a l'hôpital, a-t-il dit, récament justice pour la victime et des réparations pour son autobus.
Le maire Alouisma a rejeté ces accusation. Il affirme avoir été victime d'un guet-apens et parle d'un attentat à sa vie.
C'est de l'autobus qui suivait mon véhicule que les coups de feu sont partis, a tenté de faire croire l'idylle de Port-de-Paix qui a dit déplorer la mort du jeune étudiant, tout en promettant d'accompagner ses proches.
Le maire invite les autorités judiciaires à diligenter une enquête, en vue de faire la lumière sur cet incident et critique la décision des autorités policières de laisser l'autobus poursuivre sa route.
Le maire Alouisma n'a pas été autorisé à rentrer chez lui, après son audition au parquet Port-de-Paix. Il a été maintenu en garde-à-vue, de même que son agent de sécurité. Selon le commissaire du gouvernement, Claude Frantz Antoine, les témoignages des deux hommes n'étaient pas concordants.
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Port-au-Prince, le 3 aout 2017 - (AHP) - Le député de Port-Salut (Sud) et président de la commission santé de la chambre basse, le Dr Sinal Bertrand juge opportun que les autorités sanitaires haïtiennes cherchent à savoir si d'autres cas de personnes atteintes de la lèpre, existent en Haiti.
Les déclarations du parlementaire arrivent quelques jours après que les autorités chiliennes eurent confirmé qu'un migrant récemment arrivé d'Haiti, residant dans la ville de Valdivia, a été testé positif de la maladie.
Il faut, a-t-il dit, qu'on s'intéresse aux proches de ce patient et à son entourage afin de vérifier si la maladie existe dans le pays, rappelant que cela faisait longtemps qu'on n'avait pas recensé de cas en Haiti.
C'est peut-être la même chose pour le choléra, nous n'avions pas enregistré de cas jusqu'a ce qu'en 2010, des casques bleus de la Mission des nations Unies pour la Stabilisation d'Haiti ne contamine une source dans le plateau central, provoquant une épidémie, a-t-il rappelé.
C'est le 31 juillet dernier que les autorités chiliennes avaient confirmé le premier cas de lèpre enregistré dans le pays et il s'agirait d'un ressortissant haïtien de 28 ans qui se trouve actuellement sous traitement.
Une fois qu'il a été annoncé que le patient était un ressortissant haïtien, le media chilien, Publi Metro, a relayé une vague d'insultes racistes débitées contre les Haïtiens sur les réseaux sociaux.
Il faut dire que, depuis un certain temps, de nombreux Haïtiens quittent le pays pour s'installer au Chili, fuyant l'instabilité et la misère dans le pays.
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Un haïtien de 28 ans malade de la lèpre au Chili. Ce premier cas dans le pays a été découvert dans la ville de Valdivia. La nouvelle provoque un grave inconfort au parmi les haïtiens qui vivent au Chili au point que certains ont demandé à être examinés pour prouver qu’ils ne sont pas lépreux.
Le président de la commission Santé de la chambre des députés, Sinal Bertrand estime que le fait que le lépreux découvert au Chili soit de nationalité haïtienne doit alerter les autorités sanitaires. Il les invite à réaliser une bonne surveillance épidémiologique afin de s’assurer que la bactérie n’existe pas dans le pays.
Des réfugiés haïtiens fuyant les Etats Unis se réfugient au Canada. Ils s'installent depuis hier au stade olympique de Montréal.
Publication des résultats des examens du baccalauréat pour quatre départements : le Centre, le Sud, le Sud’Est et la Grand’Anse. Un communiqué du ministère de l’Education Nationale annonce que les résultats pour les autres départements seront publiés incessamment.
Une trêve de deux semaines est observée à compter de ce jeudi par les greffiers et huissiers qui étaient en grève depuis un mois. Un accord a été signé avec des représentants du Ministère de la Justice sur des réponses à apporter aux revendications de ces travailleurs qui réclament de meilleures conditions salariales.
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