-Décès brutal mercredi de l’ancienne ministre de la
Santé publique et de la population dans un accident de la route: Michael Amédée
Gédéon revenait de la commune de Pestel dans la Grande-Anse:
-Le véhicule à bord duquel, elle se trouvait est entrée
en collision, entre Camp-Perrin et Laborde,
avec un autre véhicule qui arrivait en sens inverse, sur la route récemment
construite dite “Route Neuf”.
-L’ancienne présidente de la croix-Rouge haïtienne,
qui fut également doyenne de la faculté de médecine de l’UNIFA, a parcouru
toute la nationale No 2, avant d’être accueillie à l’Hopital Bernard Mevs de
Port-au-prince,tous les autres hopitaux sur son parcours n’ayant pas été pas en mesure
de la prendre en charge .
-Le Dr Garner Michel de “Stop Accidents” se déclare
profondément touché par ce décès et déplore les graves dangers auxquels sont
exposés les usagers de la route et l’absence de prise en charge pour les
accidentés.
-Inondations dans le Bas artibonite , après moins d’une heure de pluie hier : Au moins 2 personnes dont un enfant ont trouve la mort à Saint-Marc
L es réseaux sociaux ne chôment pas. Ce sont maintenant les banderoles
qui font leur apparition dans les rues pour questionner : Ou sont passés
les fonds Petro caribe ?.
-Mais parallelement, des personnalités accusés d’implication dans la
dilapidation des 3.8 milliards de dollars, tentent d’intégrer le mouvement pour
essayer de le banaliser.
-Un sit-in est prévu ce vendredi devant le siège de la Cour des Comptes et
du Contentieux administratif, à l’initiative des internautes qui participent au
#Petrocaribechallenge sur Twitter. De nombreux citoyens continuent de dénoncer
le silence des autorités judiciaires face à la dilapidation des 3.8 milliards
de dollars.
-Un des avocats des plaignants de l’affaire
Petrocaribe, Marc Antoine Maisonneuve salue la mobilisation citoyenne sur le
dossier. Il se dit confiant que cette vigilance débouchera sur un procès.
-
, L’Association des Médias Indépendants d’haïti (AMIH) condamne
les menaces et les violences exercées contre des journalistes accrédités au
parlement, dans l’exercice de leur profession.
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-L’AMIH croit, dans
ce dossier, que les discours, les regrets, ainsi que
les promesses ne suffisent pas.
-Elle attend les
sanctions et les dispositions qui seront
prises par les présidents des deux chambres, pour punir les coupables et dédommager
les victimes, à l’échéance des deux
jours de boycott des activités du Parlement par les journalistes accrédités au parlement.
-Des agents de sécurité du Parlement avaient
giflé lundi un caméraman de Télé Pacific
et détruit son matériel de travail, alors qu’il prenait les images de ces agents en
train de résister aux policiers venus les interpeller, suite à des tirs
survenus dans la soirée, mais de l’intérieur de la chambre des deputés (selon
des sénateurs) et présentés comme une attaque contre le Parlement
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